Vraisemblablement, l’opinion serait dans le questionnement suite au récurrent cas de déclaration d’incendie dans le pays. Bien d’accord que ce n’est pas un cas nouveau. Les concessionnaires en ont enregistré fréquemment.
La donne a changé depuis le cas d’incendie du principal dépôt de carburant de la société des hydrocarbures située dans la commune de Kaloum, à Coronthin. Ce cas d’incendie du centre ville a disons ouvert visiblement une boîte de pandore de déclarations d’incendie dans le pays dans la ville de Conakry, tout comme à l’intérieur. Si ce n’est pas des établissements publics qui en sont consumés, ce sont des centres de négoce, notamment des marchés, qui réunissent en leur sein d’innombrables ensemble. C’est le cas du marché de N’Zérékoré. Le week-end dernier, c’était le plus grand marché du pays, Madina. Puis de Kousitel dans la préfecture de Gaoual, qui a suivi. Dans la matinée de ce lundi 6 mai 2024, c’est le cas du ministère de la Culture, du tourisme et de l’artisanat qui attire à son tour l’attention de l’opinion. Là également, les informations laissent entendre que le feu est en train de consumer les contenus des différents.
Question! Pourquoi il y a-t-il tant de cas d’incendie au moment où la grande majorité des Guinéens tire le diable par la queue. Est-ce d’actes délibérés ou des sanctions divines. La réponse à ces questionnements. Ce sont les enquêtes et de ce fait, ce sont les autorités qui peuvent trouver la réponse à travers les investigations. Malheureusement, dans ce pays, les enquêtes s’ouvrent, mais elles ne se referment pas. Et donc l’on connaît déjà la préoccupation. Attendre la réponse à cette question, ce n’est pas pour demain.
L’autre réponse, divine: l’on pourrait l’avoir en côtoyant les religieux. Eux-aussi, ils ne pourront que se focaliser sur les enseignements des textes religieux. Donc pas grand chose, en tout cas scientifiquement parlant.
En fin de compte, comme ils savent le faire, les Guinéens: laisser tomber ou diront nous nous remontons à la sagesse Suprême, le Rédempteur du monde. Sans attendre en aucun accompagnement derrière de la part de l’Etat guinéen.
La rédaction
