Fils d’un joueur de kora et directeur de ballet, 𝐁𝐚 𝐂𝐢𝐬𝐬𝐨𝐤𝐨 baigne dès son enfance dans un univers musical riche

• Fils d’un joueur de kora et directeur de ballet, 𝐁𝐚 𝐂𝐢𝐬𝐬𝐨𝐤𝐨 baigne dès son enfance dans un univers musical riche. S’il préfère d’abord le football, il se tourne finalement vers la kora à l’âge de quatorze ans sous la tutelle de son oncle, le maître de kora 𝐌’𝐁𝐚𝐭𝐲 𝐊𝐨𝐮𝐲𝐚𝐭𝐞́. Il fait ses premiers pas sur scène en se produisant dans des hôtels et lors d’événements, forgeant ainsi son expérience. De 1992 à 1999, il évolue au sein du groupe 𝐓𝐚𝐦𝐚𝐥𝐚𝐥𝐨𝐮, qui se produit à quelques reprises en France avant de se dissoudre. Il fonde ensuite son propre groupe avec 𝐒𝐞́𝐤𝐨𝐮 𝐊𝐨𝐮𝐲𝐚𝐭𝐞́, 𝐊𝐨𝐮𝐫𝐨𝐮 𝐊𝐨𝐮𝐲𝐚𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐈𝐛𝐫𝐚𝐡𝐢𝐦𝐚 𝐁𝐚𝐡 « 𝐊𝐨𝐧𝐤𝐨𝐮𝐫𝐞́ », avec qui il enregistre trois albums et tourne en Afrique de l’Ouest, en Europe et en Amérique du Nord. En 2008, il revisite le titre 𝐒𝐮𝐧𝐝𝐚𝐲 𝐁𝐥𝐨𝐨𝐝𝐲 𝐒𝐮𝐧𝐝𝐚𝐲 de 𝐔𝟐, inclus dans l’album In The Name Of Love: Africa Celebrates 𝐔𝟐. Il participe également au 𝐖𝐨𝐫𝐥𝐝 𝐌𝐮𝐬𝐢𝐜 𝐅𝐞𝐬𝐭𝐢𝐯𝐚𝐥 d’Yverdon-les-Bains en Suisse en 2009 et rencontre un franc succès lors de sa tournée en France en 2011. Son album Nimissa (2012) est salué par 𝐓𝐞́𝐥𝐞́𝐫𝐚𝐦𝐚, 𝐋𝐞𝐬 𝐈𝐧𝐫𝐨𝐜𝐤𝐬 𝐞𝐭 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐨𝐦𝐢𝐱, et son dernier opus Djélia, sorti en 2016 chez 𝐂𝐫𝐢𝐬𝐭𝐚𝐥 𝐑𝐞𝐜𝐨𝐫𝐝, continue de séduire le public.La musique de Ba Cissoko se distingue par un 𝐦𝐞́𝐥𝐚𝐧𝐠𝐞 𝐚𝐮𝐝𝐚𝐜𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐫𝐲𝐭𝐡𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐦𝐞́𝐥𝐨𝐝𝐢𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬.

Établi à 𝐌𝐚𝐫𝐬𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞, Ba Cissoko est aujourd’hui une figure incontournable de la 𝐰𝐨𝐫𝐥𝐝 𝐦𝐮𝐬𝐢𝐜, enchaînant festivals et tournées internationales. Ses récents albums renouent avec des sonorités plus acoustiques et traditionnelles, tout en intégrant des influences caribéennes et latino-américaines.

Circus Baobab Ba Cissoko