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Droit de réponse] Makanéra face à l’inaccessible étoile : une comparaison inévitable avec Tibou Kamara (Par Aboubakr)

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[Droit de réponse] Makanéra face à l’inaccessible étoile : une comparaison inévitable avec Tibou Kamara (Par Aboubakr)
Il est des noms qui imposent le respect, des figures qui incarnent l’excellence, et des trajectoires qui transcendent les frontières pour s’inscrire dans l’histoire. Tibou Kamara est de ceux-là. Sa carrière, bien qu’émaillée de volte-face politiques, témoigne d’une constance inébranlable dans un domaine où peu brillent : la compétence. C’est par ses capacités, et non par des artifices ou des alliances de circonstance, qu’il s’est imposé. Il n’était pas simplement appelé à servir dans les gouvernements successifs, il était requis, sollicité, parce qu’indispensable.

Loin de se limiter à la Guinée, son aura a rayonné au-delà des frontières nationales, notamment au Togo et en Gambie, où ses contributions ont marqué les esprits. Le ministre Tibou Kamara n’est pas qu’un technicien ou un intellectuel, il est une plume, une voix, un esprit d’une rare finesse. Sa production écrite, dense et rigoureuse, le hisse parmi les meilleurs, faisant de lui un modèle pour les générations présentes et futures.

Mais si l’ascension de Tibou Kamara est un hymne à l’excellence, que dire de Makanéra ? Ce dernier, par son parcours, illustre tristement ce que l’on pourrait appeler la médiocrité en politique. Il n’est ni un homme d’idées, ni un homme de convictions, encore moins un homme de lettres. Ce qu’il exprime, hélas, trahit une pauvreté intellectuelle criante, une incapacité à articuler même les idées les plus élémentaires avec clarté et profondeur.

Qu’on se le dise : l’erreur n’est pas seulement dans ses propos décousus ou ses postures opportunistes. Elle remonte à sa nomination comme ministre sous Alpha Condé, une décision qui relève davantage d’un décret malheureux que d’une reconnaissance méritée. Le président Alpha Condé, d’ailleurs, ne tarda pas à corriger cette erreur en l’écartant. Depuis, Makanéra s’est voué à une politique d’insolence et de décadence, errant sans cap ni boussole, dans une quête désespérée de pertinence.

Comment pourrait-il en être autrement pour un homme incapable de réussir un simple test de recrutement à la radio rurale de Boké, une institution dont les exigences sont pourtant modestes ? Les Guinéens le savent : le niveau intellectuel de Makanéra, tel un vase percé, peine à contenir la moindre goutte de substance.

Bref, comparer Makanéra à Tibou Kamara, c’est opposer l’ombre à la lumière, l’amateurisme à la maîtrise, et l’insignifiance à l’éclat. Ce dernier, par son talent et sa plume, restera une étoile dans le ciel politique guinéen et au-delà. Quant à Makanéra, il est grand temps qu’il accepte sa place : celle d’un acteur de second [Droit de réponse] Makanéra face à l’inaccessible étoile : une comparaison inévitable avec Tibou Kamara (Par Aboubakr)
28 novembre 2024
[Droit de réponse] Makanéra face à l’inaccessible étoile : une comparaison inévitable avec Tibou Kamara (Par Aboubakr)
Il est des noms qui imposent le respect, des figures qui incarnent l’excellence, et des trajectoires qui transcendent les frontières pour s’inscrire dans l’histoire. Tibou Kamara est de ceux-là. Sa carrière, bien qu’émaillée de volte-face politiques, témoigne d’une constance inébranlable dans un domaine où peu brillent : la compétence. C’est par ses capacités, et non par des artifices ou des alliances de circonstance, qu’il s’est imposé. Il n’était pas simplement appelé à servir dans les gouvernements successifs, il était requis, sollicité, parce qu’indispensable.

Loin de se limiter à la Guinée, son aura a rayonné au-delà des frontières nationales, notamment au Togo et en Gambie, où ses contributions ont marqué les esprits. Le ministre Tibou Kamara n’est pas qu’un technicien ou un intellectuel, il est une plume, une voix, un esprit d’une rare finesse. Sa production écrite, dense et rigoureuse, le hisse parmi les meilleurs, faisant de lui un modèle pour les générations présentes et futures.

Mais si l’ascension de Tibou Kamara est un hymne à l’excellence, que dire de Makanéra ? Ce dernier, par son parcours, illustre tristement ce que l’on pourrait appeler la médiocrité en politique. Il n’est ni un homme d’idées, ni un homme de convictions, encore moins un homme de lettres. Ce qu’il exprime, hélas, trahit une pauvreté intellectuelle criante, une incapacité à articuler même les idées les plus élémentaires avec clarté et profondeur.

Qu’on se le dise : l’erreur n’est pas seulement dans ses propos décousus ou ses postures opportunistes. Elle remonte à sa nomination comme ministre sous Alpha Condé, une décision qui relève davantage d’un décret malheureux que d’une reconnaissance méritée. Le président Alpha Condé, d’ailleurs, ne tarda pas à corriger cette erreur en l’écartant. Depuis, Makanéra s’est voué à une politique d’insolence et de décadence, errant sans cap ni boussole, dans une quête désespérée de pertinence.

Comment pourrait-il en être autrement pour un homme incapable de réussir un simple test de recrutement à la radio rurale de Boké, une institution dont les exigences sont pourtant modestes ? Les Guinéens le savent : le niveau intellectuel de Makanéra, tel un vase percé, peine à contenir la moindre goutte de substance.

Bref, comparer Makanéra à Tibou Kamara, c’est opposer l’ombre à la lumière, l’amateurisme à la maîtrise, et l’insignifiance à l’éclat. Ce dernier, par son talent et sa plume, restera une étoile dans le ciel politique guinéen et au-delà. Quant à Makanéra, il est grand temps qu’il accepte sa place : celle d’un acteur de second plan, condamné à errer dans les marges de l’histoire.
Je n’en ai pas fini avec toi, c’est promis. Aboubakr

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