Tribune : Maurice Togba Haba, une créature qui s’est éteinte à jamais( Par Eugène Capi Balamou )
La mort est un passage indéniable, un passage obligé que chaque être naturel devrait s’attendre un jour. Un jour imprévisible, inattendu pour enfin définir un planning auquel on s’est fixé un objectif à atteindre.
C’est dans cette optique que l’écrivain Jim morrison témoigne ceci. <>.
Oui, une épreuve très dure, pathétique, émouvante, qui arrache un être valeureux, par son humanisme, sa loyauté et sa participation pour l’émancipation d’une couche juvenille serait une tendance indélébile à leur egard.
M. Maurice Togba Haba , merci, merci et merci.
Merci d’avoir accompli votre mission sur terre. Jadis, dans le cadre d’une formation adéquate léguée aux futurs cadres de la nation Guinéenne, vous avez apporté votre contribution efficace.
De votre passage à la faculté des sciences juridiques et politiques, département Droit n’a pas été vain. Cher maître, votre efficacité, rigueur, courage à porté fruit. Car, le savoir, le savoir vivre, le savoir faire et le savoir être dont vous n’avez jamais renoncé d’octroyer à vos disciples, les ont permis de franchir à un bon chemin de la vie. La réussite se poursuit dans le cheminement de la vie.
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Merci pour tous ces sacrifices consentis pour la réussite des jeunes dont, vous avez cru en eux.Aujourd’hui, vous êtes appelé à Dieu pour toujours. Vous partez à la fleur de l’âge, vous partez si jeune avec une multitude de projets réalistes et réalisables. Vous partez en laissant dernière vous : votre famille, vos enfants, vos collaborateurs, vos proches, surtout vos disciples dont vous les avez transmis une partie de vôtre connaissance. Ah oui, la terre est aussi courageuse pour revoir une âme comme la votre M. HABA, sans quoi elle aurait juste te retourner pour achever tes projets sur terre. Nous ne saurions t’oublier à un moment donné de la vie. Nous penserons toujours à vous dans nos prières afin Qu’Allah le tout puissant, créateur des cieux, décideur universel pardonne tes péchés et t’acueille dans son paradis éternel. La mort, une épreuve difficile qui chagrine le cœur de l’homme face à la perte d’un être cher.
Birago Diop nous rappelle dans son refrain que : <>. Cela nous rappelle votre trace visible restée sur terre qui, à chaque moment, vos disciples se souviendront de vous. À Dieu cher professeur, guide. Vous qui nous avez soutenu sans renoncer à cela pendant notre cycle universitaire .
Merci pour les locaux services rendus à la nation Guinéenne.
Vous avez atteint votre objectif sur terre.À cela, écoutons ce proverbe arabe : <>.
Pour finir, un proverbe Africain nous rappelle ceci : <>.
Que la terre Africaine de Guinée dont vous avez tant servi vous soit légère. Amen.
Reposez vous en paix cher maître.
Par Eugène Capi Balamou, votre disciple de droit à la fac de Sonfonia…
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