une jeune fille du nom de AÏSSATOU LAMARANA KARGBHO, âgée de 9 (neuf) ans a été enlevé par une personne qui se fait nommé FESTISUIS TRAORE le Samedi, 22 Juin 2024 aux environs de 17h A PITA.

La Coordination Préfectorale de la Maison des Associations et ONG de Guinée MAOG-PITA DECLARATION:
Ce Lundi, 24 Juin 2024 nous avons reçu une information selon laquelle une jeune fille du nom de AÏSSATOU LAMARANA KARGBHO, âgée de 9 (neuf) ans a été enlevé par une personne qui se fait nommé FESTISUIS TRAORE le Samedi, 22 Juin 2024 aux environs de 17h.
Aussitôt informé, nous nous sommes rendus chez la famille de la victime pour s’enquérir de plus d’informations sur les circonstances de l’enlèvement de la jeune fille.
La mère de la victime (HOUSSAÏNATOU BAH) s’est exprimée en ces termes : « c’est ce jeudi 13 Juin 2024 que le nommé FESTISUIS TRAORE m’a trouvé au salon de coiffure de mon mari demandant les nouvelles de mon beau-frère décédé il y a de cela plus de sept (7) ans. Il s’est fait passer comme un ami de ce dernier. Après avoir acquis une certaine confiance il revient le vendredi 14 Juin 2024 me demander le numéro de mon mari et je lui ai fait comprendre que celui-ci a un problème et il se trouve actuellement en détention à la prison civile de Pita.
La semaine suivante, il revint toujours me trouver au lieu de travail de mon mari me suggérant de le rendre visite à la prison. Sur ce, nous nous sommes convenus d’y aller ensemble le Vendredi 21 Juin 2024. Très malheureusement, ce jour je suis tombée malade et le Monsieur en question est parti avec l’un de mes enfants (Mohamed Jonh Kargbho) à la prison.
Le lendemain, il revint encore sous prétexte qu’il veut à nouveau repartir visiter mon conjoint à son lieu de détention (Prison). Ce jour, il sollicita partir avec ma fille. Mais comme il a déjà acquis ma confiance je lui laissa avec ma fille. Il m’exhorta ainsi de donner un montant de cinq (5) mille francs à cette dernière pour que celle-ci puisse acheter une boite de jus et l’envoyer à son père. C’était aux environs de 17h. Après la prière de 19h, sans nouvelles de ma fille et du Monsieur, j’appela le Monsieur pour le dire de ramener ma fille et il répondit être tout prêt de notre concession. Après une longue attente sans succès, je me suis dirigée directement chez les voisins et amis pour vérifier si elle était chez quelqu’un d’entre eux mais en vain. Je pris la route pour le jardin public (un lieu de loisir pour les enfants qui se trouve à côté de la Prison) à la recherche de la fillette mais toujours sans succès ».
Poursuivant son explication elle témoigne : « A 22h je me suis rendue à la Radio Rurale pour passer un communiqué avant de me rendre le Dimanche, 23 Juin 2024 à la Prison pour informer mon mari de la situation qui prévaut en famille. Celui-ci rétorqua en disant pourquoi j’ai laissé ma fille d’un tel âge avec un inconnu. Aussitôt je me suis dirigée vers la Gendarmerie pour une déclaration. A 4h du matin, le Monsieur (kidnappeur) appela mon fils aîné (Saïfoulaye Kargbho) en lui passant ma fille kidnappée pour lui rassurer qu’elle est en vie. Il lui demanda ensuite une rançon de deux millions francs guinéen (2 000 000 GNF) en crédit d’appel sur son numéro ».
Pour terminer elle demande aux autorités compétentes de l’aider à retrouver sa fille disparue.La Coordination Préfectorale de la Maison des Associations et ONG de Guinée MAOG-PITA DECLARATION:
Ce Lundi, 24 Juin 2024 nous avons reçu une information selon laquelle une jeune fille du nom de AÏSSATOU LAMARANA KARGBHO, âgée de 9 (neuf) ans a été enlevé par une personne qui se fait nommé FESTISUIS TRAORE le Samedi, 22 Juin 2024 aux environs de 17h.
Aussitôt informé, nous nous sommes rendus chez la famille de la victime pour s’enquérir de plus d’informations sur les circonstances de l’enlèvement de la jeune fille.
La mère de la victime (HOUSSAÏNATOU BAH) s’est exprimée en ces termes : « c’est ce jeudi 13 Juin 2024 que le nommé FESTISUIS TRAORE m’a trouvé au salon de coiffure de mon mari demandant les nouvelles de mon beau-frère décédé il y a de cela plus de sept (7) ans. Il s’est fait passer comme un ami de ce dernier. Après avoir acquis une certaine confiance il revient le vendredi 14 Juin 2024 me demander le numéro de mon mari et je lui ai fait comprendre que celui-ci a un problème et il se trouve actuellement en détention à la prison civile de Pita.
La semaine suivante, il revint toujours me trouver au lieu de travail de mon mari me suggérant de le rendre visite à la prison. Sur ce, nous nous sommes convenus d’y aller ensemble le Vendredi 21 Juin 2024. Très malheureusement, ce jour je suis tombée malade et le Monsieur en question est parti avec l’un de mes enfants (Mohamed Jonh Kargbho) à la prison.
Le lendemain, il revint encore sous prétexte qu’il veut à nouveau repartir visiter mon conjoint à son lieu de détention (Prison). Ce jour, il sollicita partir avec ma fille. Mais comme il a déjà acquis ma confiance je lui laissa avec ma fille. Il m’exhorta ainsi de donner un montant de cinq (5) mille francs à cette dernière pour que celle-ci puisse acheter une boite de jus et l’envoyer à son père. C’était aux environs de 17h. Après la prière de 19h, sans nouvelles de ma fille et du Monsieur, j’appela le Monsieur pour le dire de ramener ma fille et il répondit être tout prêt de notre concession. Après une longue attente sans succès, je me suis dirigée directement chez les voisins et amis pour vérifier si elle était chez quelqu’un d’entre eux mais en vain. Je pris la route pour le jardin public (un lieu de loisir pour les enfants qui se trouve à côté de la Prison) à la recherche de la fillette mais toujours sans succès ».
Poursuivant son explication elle témoigne : « A 22h je me suis rendue à la Radio Rurale pour passer un communiqué avant de me rendre le Dimanche, 23 Juin 2024 à la Prison pour informer mon mari de la situation qui prévaut en famille. Celui-ci rétorqua en disant pourquoi j’ai laissé ma fille d’un tel âge avec un inconnu. Aussitôt je me suis dirigée vers la Gendarmerie pour une déclaration. A 4h du matin, le Monsieur (kidnappeur) appela mon fils aîné (Saïfoulaye Kargbho) en lui passant ma fille kidnappée pour lui rassurer qu’elle est en vie. Il lui demanda ensuite une rançon de deux millions francs guinéen (2 000 000 GNF) en crédit d’appel sur son numéro ».
Pour terminer elle demande aux autorités compétentes de l’aider à retrouver sa fille disparue.La Coordination Préfectorale de la Maison des Associations et ONG de Guinée MAOG-PITA DECLARATION:
Ce Lundi, 24 Juin 2024 nous avons reçu une information selon laquelle une jeune fille du nom de AÏSSATOU LAMARANA KARGBHO, âgée de 9 (neuf) ans a été enlevé par une personne qui se fait nommé FESTISUIS TRAORE le Samedi, 22 Juin 2024 aux environs de 17h.
Aussitôt informé, nous nous sommes rendus chez la famille de la victime pour s’enquérir de plus d’informations sur les circonstances de l’enlèvement de la jeune fille.
La mère de la victime (HOUSSAÏNATOU BAH) s’est exprimée en ces termes : « c’est ce jeudi 13 Juin 2024 que le nommé FESTISUIS TRAORE m’a trouvé au salon de coiffure de mon mari demandant les nouvelles de mon beau-frère décédé il y a de cela plus de sept (7) ans. Il s’est fait passer comme un ami de ce dernier. Après avoir acquis une certaine confiance il revient le vendredi 14 Juin 2024 me demander le numéro de mon mari et je lui ai fait comprendre que celui-ci a un problème et il se trouve actuellement en détention à la prison civile de Pita.
La semaine suivante, il revint toujours me trouver au lieu de travail de mon mari me suggérant de le rendre visite à la prison. Sur ce, nous nous sommes convenus d’y aller ensemble le Vendredi 21 Juin 2024. Très malheureusement, ce jour je suis tombée malade et le Monsieur en question est parti avec l’un de mes enfants (Mohamed Jonh Kargbho) à la prison.
Le lendemain, il revint encore sous prétexte qu’il veut à nouveau repartir visiter mon conjoint à son lieu de détention (Prison). Ce jour, il sollicita partir avec ma fille. Mais comme il a déjà acquis ma confiance je lui laissa avec ma fille. Il m’exhorta ainsi de donner un montant de cinq (5) mille francs à cette dernière pour que celle-ci puisse acheter une boite de jus et l’envoyer à son père. C’était aux environs de 17h. Après la prière de 19h, sans nouvelles de ma fille et du Monsieur, j’appela le Monsieur pour le dire de ramener ma fille et il répondit être tout prêt de notre concession. Après une longue attente sans succès, je me suis dirigée directement chez les voisins et amis pour vérifier si elle était chez quelqu’un d’entre eux mais en vain. Je pris la route pour le jardin public (un lieu de loisir pour les enfants qui se trouve à côté de la Prison) à la recherche de la fillette mais toujours sans succès ».
Poursuivant son explication elle témoigne : « A 22h je me suis rendue à la Radio Rurale pour passer un communiqué avant de me rendre le Dimanche, 23 Juin 2024 à la Prison pour informer mon mari de la situation qui prévaut en famille. Celui-ci rétorqua en disant pourquoi j’ai laissé ma fille d’un tel âge avec un inconnu. Aussitôt je me suis dirigée vers la Gendarmerie pour une déclaration. A 4h du matin, le Monsieur (kidnappeur) appela mon fils aîné (Saïfoulaye Kargbho) en lui passant ma fille kidnappée pour lui rassurer qu’elle est en vie. Il lui demanda ensuite une rançon de deux millions francs guinéen (2 000 000 GNF) en crédit d’appel sur son numéro ».
Pour terminer elle demande aux autorités compétentes de l’aider à retrouver sa fille disparue.